Vieux d’environ 5200 ans, les hiéroglyphes égyptiens sont le plus ancien système d’écriture complet connu. Littéralement, cela signifie « lettre gravée sacrée ». Composés d’images, les hiéroglyphes apportent des informations d’une grande finesse sémantique. On les lit de gauche à droite, de droite à gauche ou de haut en bas.
Les scribes : ils appartenaient à l’élite de la société égyptienne, pour l’essentiel illettrée.
La pierre de Rosette ou le code déchiffré : l’art de déchiffrer les hiéroglyphes était depuis longtemps perdu quand, en 1799, l’armée de Bonaparte découvrit à Rosette une stèle de granit noir qui en détient la clef. On y voit un même texte en trois langues : hiéroglyphes, démotique et grec.
L’importance du nom : les anciens Egyptiens pensaient que le nom était aussi essentiel à la vie qu’à l’âme. Un grand pouvoir lui était attaché ; prononcer le nom d’un défunt pouvait le ramener à la vie. Aussi les inscriptions funéraires rappellent-elles souvent le nom du défunt, pour qu’on le prononce après sa mort, lui assurant ainsi l’éternité.
Les scribes : ils appartenaient à l’élite de la société égyptienne, pour l’essentiel illettrée.
La pierre de Rosette ou le code déchiffré : l’art de déchiffrer les hiéroglyphes était depuis longtemps perdu quand, en 1799, l’armée de Bonaparte découvrit à Rosette une stèle de granit noir qui en détient la clef. On y voit un même texte en trois langues : hiéroglyphes, démotique et grec.
L’importance du nom : les anciens Egyptiens pensaient que le nom était aussi essentiel à la vie qu’à l’âme. Un grand pouvoir lui était attaché ; prononcer le nom d’un défunt pouvait le ramener à la vie. Aussi les inscriptions funéraires rappellent-elles souvent le nom du défunt, pour qu’on le prononce après sa mort, lui assurant ainsi l’éternité.
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